L'alliance des 5 races


 

Chapitre IV: Avalon... [Partie I] Signat19
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

Partagez

Chapitre IV: Avalon... [Partie I]

Teck
Chancelier
TeckChancelier
Messages : 836
Expérience : 6044
Date d'inscription : 21/08/2010
Age : 32
Localisation : Sur le Serenity

Feuille de personnage
Parcours: Le chancelier Teck Ayanna est l'arrière arrière arrière petit fils du grand conseiller Moros. Il est membre du sénat et dirige l'alliance des 5 races
Corporation: Sénat Sénat
https://lafederationatlante.forumsrpg.com
MessageSujet: Chapitre IV: Avalon... [Partie I] Chapitre IV: Avalon... [Partie I] Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 19:51

...
____________________________________________________________


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]


____________________________________________________________








Cela allait bientôt faire cinq ans que l’Infinity, magnifique vaisseau d’argent de conception Alteran avait déposé les trente-neuf milles trois cent vingt-et-un passagers sur Avalon. Le campement installé lors de leur arrivée avait très vite laissé place à une grande et très belle ville, édifiée sur les rives du fleuve qui serpentait dans la vallée. Avalon était le joyau de l’architecture Alteran, jamais une ville n’avait été réalisée avec autant de soins que celle-ci. Ce matin là le soleil eu du mal à être vu, il était dissimulé par de gros nuages gris et une légère brise froide soufflait sur la ville. Comme tous les matins Sillya sortait pour aller faire un tour sur le marché. Elle marchait dans les rue d’Avalon emmitouflée dans un grand châle. Sillya marchait le long d’une grande rue pavé de pierres noires, il n’y avait pas grand monde par ce froid matin de printemps, et comme tous les matins la jeune femme admirait les demeures toutes plus belle les unes que les autres. De grandes bâtisses en pierre de taille d’un gris léger, qui laissaient apparaitre les poutres de bois qui soutenaient les toits de tuiles rougeâtres. Une multitude de fenêtres habillait les murs des maisons. Sillya marchait encore et encore un panier à la main, elle arriva enfin à un grand carrefour où trônait un énorme saule pleureur en son centre. La jeune femme prit le chemin sur sa droite, elle se trouvait à présent dans un long corridor vouté. Après un petit quart d’heure de marche elle vit enfin le bout de se long corridor qui donnait directement sur la place du marché d’Avalon. La place du marché était immense, une multitude de pavés de plusieurs nuance de gris dessinaient sur le sol une grande spirale qui rejoignait la grande fontaine installée au centre de la place. Plusieurs arbres avaient été plantés symétriquement sur la place du marché et il y avait un très grand nombre étals de marchands, qui offraient des produits de toute la planète. Elle marchait le long des étalages et pouvait admirer la multitude de produit proposé. Un jeune homme d’une vingtaine d’année offrait une large gamme de cristaux aux formes et aux couleurs aussi variés que nombreux, un peu plus loin un couple d’âge moyen proposait des épices récoltes dans toutes les terres d’Avalon. La jeune femme marcha près de dix minutes avant d’arriver près d’un étalage tenu par une veille dame, aux cheveux grisâtre, qui proposait les meilleurs fruits et légumes de la planète.

Sillya : Bonjour Marra, comment allez-vous ?
Marra : Bonjour à vous Sillya. Vous êtes radieuse ce matin ! Alors comment vont les jumeaux ?
C’est alors qu’un magnifique sourire vint embellir le visage de la jeune femme. Elle posa alors sa main libre sur son ventre. Sillya était en ceinte de plusieurs mois déjà, et cette naissance embellissait sa vie autant que celle d’Amélius.

Sillya : Ils vont bien, je dois même dire qu’ils sont un peu excité aujourd’hui et n’arrête pas de me donné des coups de pieds.
Marra : Les petits monstres ils ont déjà le fougueux caractère de votre doux et tendre. Que vous faut-il ma belle ?
Sillya : Comme d’habitude Marra, je suis venu chercher notre ration journalière. Nous avons des invités qui viennent manger à la maison ce soir.
Marra : Donnez moi votre panier je vais vous ranger ca. Des amis ?
Sillya : A peu près, ce sont des collègues de travail d’Amélius, cela va encore parler travail, travail…
Marra : Je vois ! Voila ma belle votre panier et prêt je vous ai mis deux ou trois choses en plus.
Sillya : Ho Marra il ne fallait pas. Merci pour tout je dois aller réveiller Amélius maintenant.
Marra : A onze heures du matin !?
Sillya : Il est très productif, mais dort beaucoup. Bonne journée Marra.
Marra : A vous aussi ma belle, et bonne chance pour se soir.
Sillya : Merci.

Sillya reprit alors son chemin, elle décida de rentrer chez elle en passant par la route qui longeait le fleuve. Se chemin était un peu plus long mais elle était d’humeur baladeuse se matin. Elle quitta alors la place du marché pour s’engouffrer dans une grande rue décorée de la même façon que les précédentes. Elle longeait à présent la grande digue le longue du fleuve, les nuages commençaient à disparaitre pour laisser place à un magnifique soleil. Soudain une grosse bourrasque de vent fit voler ses cheveux dans tous les sens, Sillya leva les yeux vers le ciel et vit un Explorateur qui volait relativement prêt des toits des maisons, le petit vaisseau argenté transportait de lourde poutre de bois relié au vaisseau par un câble. La jeune femme remit ses longs cheveux bruns correctement et continua sa route. Tout en marchant elle continuait de regarder les maisons qui étaient sur sa route. Après plusieurs minutes de marche la jeune femme s’approcha du bord de la digue, elle s’appuya contre la grosse rambarde de pierre qui séparait la rue du fleuve et resta un moment à regarder les poissons nageait dans l’eau claire, si claire que l’on voyait distinctement les pierres au fond de l’eau, puis une petite voix de femme l’interpela :

Sillya : Ho bonjour Renna, comment allez-vous ?
Renna : Bien et vous ? Par l’aurore vous êtes énorme !
Sillya : Oui je sais, je mange pour trois.
Renna : Comment va Amélius ? Sait’ il que le grand conseil se réuni cette après-midi ?
Sillya : Oui, je dois aller le réveiller dans peu de temps.
Renna : Bon je dois vous laisser, nous nous voyons se soir au repas !
Sillya : Parfait à ce soir, bonne journée.

Sillya laissa donc Renna, et les deux femmes reprirent leur route respective. Sillya marcha encore une bonne vingtaine de minutes et arriva enfin devant la grosse porte en bois de sa maison. Elle ouvrit la porte et entra. La jeune femme venait d’entrer dans une grande salle rectangulaire qui servait de salon et de salle à manger. La pièce était éclairée par de très grandes fenêtres. Elle posa son panier sur une grande table, retira sont châle et le plia correctement puis la mit sur le dossier d’une chaise. Elle prit la direction de sa chambre pour réveiller son mari ; elle monta donc les escaliers situés non loin de la porte d’entrée, une fois en haut elle arriva dans un long couloir où il y avait plusieurs portes. Sillya se dirigea vers le fond du couloir et ouvrit la dernière porte sur la droite et entra dans une sombre pièce. Amélius était là, et dormait encore. Le jeune homme était étalé dans la longueur du lit et dormait sur le ventre, Sillya ne vit que son dos, tout le reste était cacher sous les couvertures, elle s’approcha doucement du lit et vint lui caresser le dos. La seul réaction de son mari fut un grognement typiquement masculine, surtout au réveil. Elle insista encore un peu mais la réaction de son mari fut la même. C’est alors que la jeune femme alla ouvrir violement les rideaux des quatre fenêtres de la chambre et ouvrir la porte fenêtre central qui donnait sur un petit balcon avec vue sur leur jardin et dit :

Sillya : Amélius il est l’heure lève toi sinon tu va être en retard le grand conseil se réunit cette après-midi et tu dois y aller.

Sillya reparti dans la grande salle à vivre, reprit son panier et se dirigea vers la cuisine. La porte de la cuisine était juste dans le coin gauche de la grande pièce. Elle posa son panier sur un des plans de travail de son immense cuisine au couleur vert pâle et d’un brun chocolat. Elle prépara aussitôt une grande tasse de thé et la posa sur la petite table située au centre de sa cuisine et commença à vider son panier. Soudain un homme tors nu et très mal rasé franchit l’épais rideau qui séparait la cuisine de la grande salle. C’était Amélius qui venait juste de sortir du lit. Il salua Sillya et prit la tasse de thé sur la table. Son corps était dans la cuisine mais son esprit était toujours sur l’oreiller. Il dégustait son thé tranquillement et mangeait de délicieux biscuits que Sillya avait préparé tôt se matin. Pendant que Sillya rangeait son panier, puis une fois qu’il eu fini il dit a Sillya de s’assoir et finit ce qu’elle était en train de faire. Le couple parla près de quarante-cinq minutes, puis Amélius alla prendre une douche avant d’aller travailler. Il reparti dans sa chambre et prit des vêtements qui se trouvaient dans une commode face à leur lit. Il ressortit de la pièce et entra dans la pièce face à leur chambre là le jeune homme posa ses vêtement sur une autre commode pris une serviette de bain et la posa sur une des parois de verre de la douche. Il se tourna vers le lavabo et le miroir situés juste a coté de la douche et commença à se raser, une fois fini le jeune homme ôta son pantalon et entra sous la douche il ouvrir l’eau chaud et une épaisse vapeur sorti de plusieurs trous situé sur les bords de la douche. Le jeune homme resta près d’une demi-heure sous la douche et mit un quart d’heure à se préparer. Une fois qu’il eu finit il rejoint sa femme qui se reposait sur un sofa dans le salon. Il l’embrassa ainsi que son ventre et parti travaillé. Rien ne pouvait plus réjouir le cœur du jeune homme que l’arrivée de ses deux enfants. Amélius du marcher environs vingt-cinq petites minutes avant de rejoindre le palais du grand conseil. Le palais du grand conseil était un très grand bâtiment qui imposait le respect, construit en pierre blanche, de robustes colonnes supportaient un toit de tuiles noires. Amélius franchit l’immense porte d’entrée et alla directement dans son bureau. Amélius prit un lourd classeur sur son bureau et reparti dans les couloirs du palais, il marchait dans un long couloir. Le reflet de son corps marchant était réfléchit sur le sol de marbre blanc, et après quelque minutes de marche Amélius rejoint le grand conseillé Oron au milieu de ce grand couloir. Après avoir échangé quelques mots les deux hommes reprirent la direction de la grande salle du conseil. Ils marchèrent encore quelques minutes avant d’être rejoint par un jeune homme de taille moyenne relativement maigre et aux cheveux brun, s’était Rowen un des meilleurs amis d’Amélius à l’extérieur mais au travail il ne s’entendait vraiment pas car leurs points de vue était toujours opposés. Tout le monde se salua et Rowen ouvrit la grande porte qui se trouvait devant lui, dans cette pièce se trouvaient déjà plusieurs personnes, les trois hommes entrèrent dans la grande salle du conseil. Cette salle était impressionnante car le seul mur qu’il y avait était celui où ce trouvait la porte d’entrée le reste de la pièce était un immense demis dôme de verre semblable à la salle de contrôle de l’Infinity, et au milieu de la pièce se trouvait une grande table entourée de plusieurs sièges. Le grand Conseillé Oron prit place en bout de table et invita les gens présent à s’assoir et dit :

Oron : Nous allons bientôt pouvoir démarrer cette nouvelle session du Conseil.

La réunion dura une heure et demi, ils n’avaient pas parlé de chose bien grave juste deux ou trois problèmes mineurs concernant la ville : problème d’alimentation en énergie, de la production de nourriture qui allait toujours bien. Depuis quelque année le grand conseil n’avait que des réunions de ce genre là. Enfin bref tout allait bien à Avalons. Une fois la réunion terminer Amélius rentra chez lui pour donner un coup de main à Sillya qui préparait le repas de se soir. Une fois de retour, le couple se mit à préparer le repas. La nuit commençait à doucement tomber sur Avalon. Sillya avait préparé un fabuleux festin à base des plus beaux légumes et fruits de toute la planète, et Amélius avait quant à lui dresser une très belle table illuminée par une multitude de petites bougies. La cité d’Avalon était à présent sous un magnifique ciel de couleur rouge, orange et rose pastel. Mais se magnifique coucher de soleil laissait place au bleu profond de la nuit et on pouvait déjà voir les premières étoiles et un croissant de lune. Soudain, un homme frappa à la porte de la maison d’Amélius. C’était Oron qui comme à son habitude était toujours le premier. Amélius vint aussitôt lui ouvrir. Une fois entré il fut très vite chaleureusement accueilli par Sillya qui ne l’avait pas vue depuis quelque temps déjà. Vingt-cinq minutes plus tard les neuf invités étaient réunis et après un apéritif très festif tout le monde se mit à table dans la joie et dans le rire. Mais une fois le repas commencé plus un mot ne retenti à table tellement les mets préparé par la belle Sillya étaient délicieux. Il n’y avait pas un mot ; pas un bruit ne raisonnait dans la grande salle à manger, ormit les bruit des couverts sur les assiettes. Amélius brisa alors le silence en relançant la conversation, et le groupe reparti dans un grand fou rire. Mais soudain sans que personne n’est eut contrôle de cela, la conversation si amusante et drôle dévia sur le travail et sur la mission « Trinity ». La mission « Trinity » ce grand mystère, car personne ne savait rien depuis que le vaisseau avait quitté la portais des capteurs de la planète. Environs six mois après l’arrivée de l’Infinity, le vaisseau fut démonté et la plupart de ses composants furent utilisés pour la construction d’un autre vaisseau : le Trinity. Sa mission était d’explorer les planètes scannées par l’Infinity avant leur arrivée sur Avalons et une planète en particulier. Celle connut sur le nom de « Beta-4-5 ». C’est alors qu’une petite équipe fut formée pour mener à bien cette mission. Cildon un jeune assistant de laboratoire d’Amélius le plus prometteur de tous et le plus motivé avait demandé à faire parti de se voyage, ainsi que Gramon le chef militaire de l’Infinity et bien d’autres. Au total trois-cent vingt membres pour cette mission. Dans quelque jour cela fera quatre ans, oui quatre ans que le grand conseil Alteran et le reste d’Avalon n’avaient plus aucune nouvelle d’eux. La planète Beta-4-5 avait été choisi car elle était la plus proche d’Avalons environs deux-cents quarante années lumière, et aussi d’après les capteurs de l’Infinity elle regorgeait de cette étrange minerai. Deux ans après le début de la mission Trinity le grand conseil ordonna à l’équipe de Randel de créer un autre vaisseau du même type que le Trinity, mais cette tache fut impossible. La planète d’Avalon ne possédait aucun minerai capable de résister aux dures conditions dans l’espace, ce qui rendait la construction impossible. Les seuls vaisseaux encore capable d’aller dans l’espace était les Explorateurs. Bien que personne ne voulait aborder le sujet, tout le monde dans la cité d’Avalons pensait très fort aux trois-cents vingt membres d’équipage du Trinity. La petite soirée organisée par Sillya et Amélius touchait à sa fin. Un à un les invités partirent pour regagner leur demeure. Une fois le couple seul, ils prirent une petite heure afin de tout ranger et nettoyer avant de monter se coucher.

Un mois s’était écoulé depuis la petite soirée chez Amélius et Sillya. En se magnifique après-midi ensoleillé d’été Amélius sorti de chez lui pour prendre la direction de son laboratoire situé en bordure de la ville. Il marcha une petite demi-heure dans les grandes rues ensoleillées d’Avalon. Le temps était parfaitement beau aujourd’hui, aucun nuage ne venait troubler se ciel d’un bleu éclatant. Le jeune homme empreinta le pont et traversa le fleuve puis marcha encore une dizaine de minutes avant d’arriver devant une grande bâtisse de pierre grise. Il venait enfin d’arriver devant son laboratoire. Le jeune homme pris alors la clef de la porte d’entrée qui était accrocher autour de son cou et ouvrit la grande porte d’entrée. Il entra et referma la porte aussitôt pour ne pas être déranger, car la plus grande partie de ses travaux était classé « secret défense ». Amélius se trouvait à présent dans une toute petite pièce très sombre. Mais soudain la petite lumière située sur le plafond de la pièce se mit à emmètre une lumière rouge intense qui l’ébloui comme à chaque fois. Cinq seconde plus tard la lumière disparue et une voix informatique retenti dans la pièce :

Voix Informatique : Scanner terminé ! Bonjour conseillé Amélius…

Et une porte située sur le mur à gauche de l’entrée s’ouvrit. Amélius entra à présent dans une grande salle qui s’allumait peu à peu. Dans cette pièce se trouvait plusieurs petits bureaux dispersés au quatre coins de la pièce. Au beau milieu de la salle se trouvait une immense table ou était posé une carte spatiale, qui représentait partiellement les constellations de la voix lactée. Les murs étaient recouvert d’étagères pleines d’objets et d’invention toute aussi étrange les un que les autres, ainsi que de nombreux plan d’invention. Cet après-midi là Amélius travaillait seul, il avait donné un jour de repos à ses six assistants. Il accrocha quelque feuilles sur un tableau au mur, fit quel que modifications sur un schéma, et rangea des objets qui trainaient ça et là. Le jeune homme se dirigea alors vers une petite porte dans le fond de son laboratoire. Derrière cette porte se trouvait une petite pièce relativement sombre. Dans la petite salle il y avait seulement un lit, une table et un dispositif de communication longue portée posé sur celle-ci. Juste a coté du dispositif de communication ce trouvait la petite pierre noire en forme de goute qui servait à communiquer avec d’autre personne à des millions d’années lumière de là. Comme presque tout les huit mois Amélius se connectait à cette machine pour communiquait avec un autre peuple. Il avait déjà tenté par plusieurs fois de communiquer avec l’équipage du Trinity mais en vain. Il s’allongea alors sur le lit, prit la petite pierre noire et l’emboita dans un des dix-huit emplacements sur le terminal de communication. Le gros cristal situé sur le sur le sommet du terminal s’illumina d’une lumière de couleur bleu turquoise intense qui illumina la totalité de la pièce pendant plusieurs secondes, puis Amélius s’évanoui. Amélius senti alors son esprit quitter son corps, qui parti tout droit vers l’espace. Il vit à une vitesse folle les millions de planètes et les milliards d’étoiles de la galaxie, franchit le vide intergalactique pour enfin rejoindre une autre galaxie, une autre planète. Une fois arrivé le jeune homme ouvrit les yeux et se leva du sofa sur le quelle il était installé, il était très déboussolé. Il regarda ses mains pendant quelque minute, puis vint le tour de regarder la pièce où il se trouvait. De longues rangées d’étagères couvertes de livres anciens. Amélius se dirigea alors vers le miroir le plus proche et quand il se regarda, et ne se vit point. Il vit le reflet d’un autre homme. Une seule fraction de seconde avait suffit pour faire voyager l’esprit d’Amélius dans le temps et l’espace pour se retrouver dans le corps d’une race qu’il connaissait très bien…

L’homme qui avait involontairement prêté son corps à Amélius était un jeune homme qui n’avait pas encore vingt ans. Il était très grand et bien bâtit, il avait le crane raser et des yeux d’un bleu glacial. Amélius reconnu les étranges symboles gravés sous l’œil de son hôte. Il n’y avait plus aucun doute Amélius habitait temporairement le corps d’une Oris. Une fois tous ses esprits recouvrés le jeune homme analysa la pièce avec plus d’attention. C’était une bibliothèque, par chance il n’y avait personne. Amélius prit la direction d’une grande fenêtre. Il s’appuya sur le rebord de celle-ci et vit une grande cité entourés par la mer et au loin la grande montagne de Célestia. Il comprit tout de suite qu’il se trouvait à Ceslestis, la cité des dieux plus puissante cité Oris. Il se retourna vers le sofa d’où il s’était « réveiller » et vit un étrange livre qu’il avait laissait tomber un peux plus tôt. Il le ramassa et passa sa main sur la couverture. Il reconnu le grand symbole de la religion Oris sur la couverture et lut le titre à haute voix :

Amélius : Le livre des Origines…

Alors Amélius se rassie sur le sofa et commença à lire le livre de la première page jusqu’à la dernière. Après plusieurs heures de lecture intense, deux passages avaient retenu l’attention de l’Alterans. Le premier de ses passages avait surtout intrigué Amélius ; il y parlait d’un mot auquel il n’avait jamais entendu parler et qu’il ne comprenait pas. L’ascension, il est dit que les Oris cherche à l’accomplirent, et que une fois fait, ils l’offriront à leur fideles. La seconde partie qui l’avait marqué était le chapitre sur l’extermination du mal. Les Oris dans leur infini grandeur auraient ait explosé la montagne qui dominait la cité des dieux de Ceslestis, afin d’ensevelir le mal à tout jamais. C’est sur cette montagne que ce trouvait Cyra. Les Oris s’étaient servit de leur évasion pour augmenter leur domination sur leurs fideles. Ce qui rendait Amélius fou de rage, il se leva. Il partit dans les rangées de la bibliothèque à la recherche d’un autre livre, car le mot « Ascension » trottait dans sa tête. Au bout que plusieurs minutes Amélius trouva un livre appelait « Les mystère de l’Ascension » il reparti aussitôt sur le sofa et commença à lire le livre. Au bout de deux heures un homme vêtu d’une longue robe entra dans la bibliothèque. Amélius ne prêta pas vraiment attention à cette homme tant il était plongeait dans sa lecture. L’homme s’approcha de lui mais Amélius ne le regardait toujours pas. Il était le Docci le chef religieux Oris le plus respecté. Il arracha le livre des mains d’Amélius qui fit très surprit, main ne dit rien et regarda fixement l’homme.

Docci : Que peut-il bien être plus important qu’un rituel de purification ?
Amélius : Je vous demande pardon ?
Docci : Les mystères de l’assenions, vous n’êtes par encore prêt. La vois des Oris est offert a tous ceux qui lui son Fidele. Suivez-moi !
Amélius : Bien monsieur.

Amélius suivait donc se mystérieux homme nommé le Docci. Il marchait dans un long couloir de marbre blanc et au mur de marbre de couleur brun clair, de grandes fenêtres laissaient voir les toits en forme me donne de la cité de Célestis. Les deux hommes arrivaient devant une imposante porte en bois qui s’ouvrit toute seule. Dans cette grande pièce se trouver plusieurs disciples. Le Docci fit signe à Amélius de les rejoindre. IL y avait un nombre incalculable de personne dans cette pièce. Tous étaient en cercle autour d’un autel central. L’autel représentait le symbole Oris, il y avait un petit siège en pierre dans le grand cercle principal et la partie inférieure montait jusqu’à un récipient qui contenait un liquide. Le Docci se plaça non loin de se récipient et dit :

Docci : Aujourd’hui est un grand jour pour les Oris. En ce jour béni la dernière survivante Alteran sera purifier du mal qui obscurci son âme. Faite entrez l’héritière du mal !

Amélius se mit à paniquait et sentait de grosse goutes de sueur collées le long de son front, dû à la panique. La porte d’entrée s’ouvrit et deux hommes en armure escorter une jeune femme. Elle avait une mine affreuse cacher derrière de long cheveux noirs, elle était vêtu d’une longue robe bleu et était enchainée des mains aux pieds. Le Docci pointa du doigt le petit siège de pierre au centre de l’autel. Les gardes allaires l’enchainer au centre de l’autel. Amélius voulait absolument aider cette femme qui semblait avoir été sévèrement torturé. Le Docci jubilait comme tout le reste de l’assemblée Oris, ils allaient enfin en finir avec les derniers Alterans sur Célestia. La jeune femme s’appelait Kailla, elle faisait partie de la quatrième génération d’Alteran qui n’avait pas réussi à atteindre Cyra avant l’évacuation. Elle était sereine, car au fond elle savait que tout serait bientôt fini. Le Docci pointa du doigt le récipient ou se trouvait le liquide qui s’enflamma comme par magie. Amélius regardait la scène fixement et ne savait pas s’il devait être impressionné ou effrayé. Comment cela se pouvait bien qu’Amélius le savait déjà ?

Docci : Voit Alteran les pouvoirs offert par l’assenions, nous sommes des dieux !
Kailla : NON ! Vous n’êtes qu’une bande de pauvre fou esclavagiste en robe, vous n’êtes pas des dieux loin de là…
Docci : Et pourtant nous avons de grands pouvoirs…
Kailla : Avoir le pouvoir ne suffit pas pour devenir un dieu !
Docci : La parole du mal n’a que peu d’importance face à la parole du sage Oris. Kailla, c’est votre dernière chance, Dites moi où sont partit les vôtres qui ont quitté ce monde ?
Kailla : Vous pouvez toujours me torturer je ne sais rien ils sont partis il y a plus de mille ans, et même si je le savais je ne vous dirais rien !
Docci : C’est bien dommage pour vous ! Vous allez donc être purifié dans les flammes de la damnation éternelle. Versez l’huile.

C’est alors qu’un disciple fit pivoter le réceptacle contenant l’huile enflammée, d’un simple geste de la main. L’huile coulait lentement le long d’une rainure. Kailla commençait à se débattre et à crier, à injurier les Oris présent dans la pièce. Amélius était terrifié, c’était le pire spectacle qui lui avait été donné de voir. Les flammes étaient si proches d’elle que la chaleur devenait insoutenable. Kailla se débattait encore et encore mais en vain. Soudain les flammes touchèrent la robe de la jeune femme qui s’enflamma d’un coup dans un hurlement de douleur atroce. Amélius regardait la scène sans rien pouvoir faire car il ne devait pas révéler sa présence aux Oris, mais soudain il bouscula les hommes devant lui, et une fois devant l’autel Amélius fut projetés par télékinésie contre le mur et s’évanoui. Et quelques secondes plus tard le jeune homme se réveilla brusquement, mais il n’était plus à Célestis, mais dans son laboratoire sur Avalon. Cette expérience qu’il pratiquait régulièrement l’avait vraiment troublé. Il mit ses mains sur son visage et des larmes se mirent à couler le long de ses joues. Cette pauvre femme torturée puis brulée vive avais troublé l’homme qu’était Amélius, il n’avait encore jamais vu quelqu’un mourir avec au temps de cruauté qu’aujourd’hui. Amélius retourna tristement chez lui. Une fois arrivé il s’allongea dans un grand sofa sur le salon. Sillya entra dans la pièce et vit tout de suite qu’Amélius allait très mal, et sans un mot elle vint le réconforter. Le lendemain matin Amélius se leva très tôt car il n’avait pas fermé l’œil de la nuit. Il se doucha et mangea un morceau puis pris la direction du palais du grand conseil, il avait demandé une réunion d’urgence pour faire son rapport. Il marchait lentement dans les rues de la grande cité. Il arriva devant le palais du conseil. Amélius entra dans le bâtiment et alla directement dans la grande salle du conseil. Il ouvrit la porte de cette majestueuse salle et vit qu’il était le premier. Il en profita pour prendre place et regardé le magnifique lever de soleil qui se déroulait a l’horizon. Cette journée promettait d’être belle et ensoleillée, mais pour le jeune conseil se jour était fade, très fade. En fait il se sentait responsable de la mort de Kailla et de touts les Alterans qui étaient restés sur Célestia. La porte s’ouvrit et le grand conseillé Oron, et les autres conseillés entrèrent. Ils prirent tous place autour de la grande table ovale. Une fois tout le monde assis Amélius pris la parole :

Amélius : J’ai de troublantes informations. Hier après-midi, comme je le fait touts les six ou sept mois, je tente de communiquer avec les humains sur Célestia via un terminal de communication longue distance. Par chance ou par malchance mon esprit à été héberger dans le corps d’un disciple Oris et j’y et appris des choses plus que troublantes…
Oron : Je m’attends au pire Amélius, je vous connais depuis un long moment et je ne vous ai jamais vu aussi bouleversé, dites nous tout.
Amélius : Pour commencer nous n’avons pas évacué la totalité des nôtres !
Mérya et Rowen : Pardon ?!
Amélius : Oui vous avez très bien entendu conseillés Mérya et Rowen, je ne sais pas exactement combien, mais maintenant il n’y en a plus.
Rowen : J’ai peur de ne plus vous suivre conseillé Amélius !
Amélius : J’ai eu le « privilège » d’assister à l’exécution d’une jeune femme nommée Kailla, elle était d’après les Oris la dernière survivante…
Mérya : Par l’aurore c’est horrible !
Oron : Amélius vous avez assisté à l’exécution de l’une des notre ?
Amélius : Malheureusement oui, mais ce n’ai pas la seule chose que j’ai appris !
Roshen : Nous vous écoutons conseillé Amélius.
Amélius : Les Oris veulent accomplir leurs ascensions.
Mérya : Je ne comprends pas !
Amélius : J’ai eu le temps de trouver des informations sur cette mystérieuse ascension. Il s’agit d’un stade de l’évolution qui transforme le corps en pure énergie, et qui permet de ne faire qu’un avec l’univers tout entier. Mais sur le chemin de cette évolution les Oris ont acquit de grands pouvoirs, et se prennent vraiment pour des dieux.
Oron : C’est affreux !!
Amélius : Je ne vous le fait pas dire grand conseillé !
Rowen : Je ne voudrais pas paraitre égocentrique, mais les Oris savent où nous sommes ?
Amélius : Ne vous en faite pas conseillé Rowen, les Oris ne savent pas où nous sommes et même les Alterans restant sur Célestia, car même à notre départ nous ne savions pas où nous allions…
Oron : Je vous en pris calmez vous ! C’est dur à dire mais c’est peut être mieux ainsi !
Mérya : Je ne peu me résoudre à ça, mais oui c’est peut être mieux.
Amélius : Je ne suis pas d’accord avec vous, nous sommes responsable des torturent qu’on enduré tous ces gens.
Rowen : Conseillé Amélius vous ne comprenez pas !
Amélius : Arrêtez ! Je suis en train de vous parler d’un groupe d’Alterans qui a été sacrifié pour que nous puissions vivre ! Nous ne vallons pas mieux que les Oris.
Oron : Conseillé Amélius gardez votre calme je vous pris ! Croyez vous franchement que nous aurions laissé des gens derrière nous si nous savions qu’il y en restait, je tiens à vous rappeler que le projet Infinity était secret.
Amélius : Excusez-moi grand conseillé !
Oron : Conseillé Amélius je vous remercie pour ce rapport très détaillé, rentez chez vous. Prenez quelque jour de repos vous le mérité bien.
Rowen : Excusez-moi grand conseillé, mais je pense qu’il ne faudrait plus se servir du dispositif de communication longue distance.
Oron : Oui tout a fait ! Amélius vous avez vos ordres, je mets fin à cette réunion merci tous…

Les jours et les semaines passaient tranquillement, Amélius se remettait doucement, mais il pensait toujours à la pauvre Kailla. Il avait eu plusieurs jours de repos pour se remettre de ce drame qu’il avait vu. Mais cela ne l’aida pas vraiment alors il se mit à travailler, sur de nombreux projets. En ce moment il travaillait sur une station sous-marine afin d’étudier les fond sous-marins et de trouver de nouvelles ressources naturelles à exploiter. La station trônait au milieu de l’océan, Amélius travaillait sur les réacteurs qui devait propulser la station sous l’eau, ils étaient endommagés suite à une surcharge d’énergie dû à un problème de programmation. Soudain une très belle jeune femme vint en courant à la rencontre du jeune conseillé. La jeune femme avait de très long cheveux noirs et de très beaux yeux verts. Elle reprit son souffle une fois dans la salle des machines. Elle s’appelait Sybille et était océanologue, elle était responsable de la station :

Sybille : Conseillé Amélius, excusez moi de vous déranger, mais le grand conseillé Oron m’a demandé de vous dire que vous devez aller immédiatement au temple de l’Aurore, mais je ne sais pas pourquoi !

Amélius couru alors à toute vitesse vers la surface, sans prendre le temps de remercier la jeune femme. Il courait à vive allure dans les étroits couloirs la station sous-marine, le bruit de ses lourds pas résonnait sur le métal et le bruit se fit entendre dans toute la station. Amélius arriva à l’extérieur de la station, il venait juste de sortir via le sas d’accès. Il n’y avait que de l’eau à perte de vue et soudain une voix retentie. Il s’agissait de Trace un pilote de vaisseaux bien connu d’Amélius. Son Explorateur était posé sur le toit de la station :

Amélius : Par l’aurore ! Officier Trace pouvez vous me conduire à la cité de toute urgence je vous pris !
Trace : Bien sûr Conseillé, allons-y !

Les deux hommes montèrent à bord du petit vaisseau d’argent. Le vaisseau décolla. Sybille resta sans voix sur le toit de la station et leur fit un geste de la main pour leur dire au revoir. C’est cheveux volaient dans tout les sens à cause du vent produit par le vaisseau. Quatre longues heures de voyage attendaient les deux hommes. Ils n’avaient que l’océan à perte de vue. Amélius était vraiment très excité car il savait se qui se passait. Après ces quatre heures de vol, Amélius demanda à Trace de le déposer près du temple de l’aurore, a se moment ’officier Trace compris pourquoi Amélius avait été rappelé. Trace posa son vaisseau sur la petite place qui était devant le temple de l’Aurore. Amélius ne pris que cinq secondes pour admirer grand bâtiment entouré de colonnes de marbre blanc. Il était à présent dans le hall du temple, ou un immense hologramme représentait la voix lactée explorée. Amélius s’approcha d’un grand bureau qui était la réception du bâtiment. Il parla à une jeune femme toute vêtue de blanc :

Amélius : Bonjour je suis le Conseillé Amélius, je voudrais savoir où est la chambre de la Conseillée Sillya s’il vous plait.
Infirmière : Un instant je vous pris… Chambre quatre cent onze au quatrième étage.

Amélius gravit les marches de l’escalier quatre par quatre. Le temple de l’Aurore était en fait une clinique réservée à la naissance et au soin des jeunes enfants. Amélius entra tout doucement dans la chambre de Sillya. La jeune femme dormait. Le jeune homme vit un détail qui frappa son attention. Ce petit détail enfin ces deux petits détails se trouver juste à coté du lit de la jeune femme. Il y avait deux berceaux, Amélius s’en approcha et regarda les deux bébés qui dormaient. Un petit garçon et une petite fille. Sillya ouvrit les yeux et Amélius l’embrassa aussitôt et la félicita tout en s’excusant de n’avoir put être présent.

Amélius : Ils sont magnifiques, tout comme toi mon amour !
Sillya : Merci je trouve qu’ils sont comme toi, ils se sont endormis il n’y a même pas dix minutes.
Amélius : Un garçon et une petite fille je suis l’homme le plus heureux de l’univers.
Sillya : Je voudrais que nous appelions le petit garçon Keane si tu aimes se prénom ?
Amélius : Keane ! Oui j’aime beaucoup et comment veux tu appeler la petite fille ?
Sillya : A toi l’honneur.
Amélius : Sans réfléchir je voudrais que nous l’appelions Kailla.
Sillya : Kailla, oui la petite Kailla…
Amélius : Bonjour a vous Kailla et Keane, je suis Amélius votre papa…

Les deux nouveau né entrouvrir la bouche et se mirent à pleurer. Amélius les admirait et Sillya l’admirait lui. Maintenant ils former une grande famille.

Deux ans venaient de s’écouler depuis l’heureux événement pour Amélius et Sillya. Les deux jumeaux avaient déjà bien grandi. La nuit était sur Avalon les lumières des lampadaires et des étoiles brillaient de mille feux au cœur de la nuit noire. Dans la demeure du couple aucun bruit ne venait troubler les ronflements d’Amélius, mais d’un coup un bip aigu retentit dans le salon, puis un autre, et encore un autre. Amélius fut brusquement réveillé par la douce Sillya qui lui donna un coup de pied, et lui dit :

Sillya : Cet appel et forcement pour toi ! Vas-y avant que les enfants ne se réveillent.

Amélius poussa un grognement typique d’un homme mal réveillé et descendit dans le salon les yeux collés et les cheveux en bataille. Le bip de plus en plus aigu était toujours là, mais les enfants avaient le sommeil aussi lourd que leur père. Sur le mur juste à coté de l’escalier était fixé un petit écran qui clignotait. Amélius très mal réveillé appuya dessus et un hologramme du grand conseillé Oron Apparu. Cet appareil était un dispositif de communication semblable à un téléphone.

Amélius : Grand Conseillé Oron que me vaut l’honneur d’être réveillé au beau milieu de la nuit ?
Oron : Je m’excuse Amélius mais votre présence est requise d’urgence au chantier spatial.
Amélius : A cette heure-ci ?! Mais enfin grand conseillé il est quatre heure du matin !
Oron : Vous ne comprenez pas !
Amélius : Pouvez vous être plus précis il est quatre heure je vous le rappelle.
Oron : Le Trinity viens de se mètre en orbite autour de la planète !
Amélius : C’est formidable alors ou est le problème, vous n’avez pas besoin de moi ?
Oron : Amélius, le vaisseau à été scanné dés son arrivée en orbite ! Il n’y a personne à bord…
Amélius : Je pars tout de suite !
Oron : Un vaisseau est déjà en route vers votre maison il sera la dans douze minutes.

Amélius courut aussi vite qu’il put sans faire le moindre bruit dans sa chambre pour se changer. Il vit les lumières qui se faufilaient à travers les rideaux de la chambre, du vaisseau explorateur qui était en train de poser dans la rue. Il repartit aussi vite qu’il était venu dans le salon déconnecta l’hologramme et sorti dans la rue. Il monta dans le vaisseau Explorateur et prit place à coté du pilote. Milina, qui était la pilote de l’explorateur décolla une fois Amélius installé, et mis le cap sur le chantier spatial d’Avalon qui était à quinze minutes de vol de la cité. Le petit vaisseau d’argent avançait dans la nuit noire, traversant les plaines à toute vitesse. La belle Milina pilotait le vaisseau Explorateur d’une main de maitre, mais Amélius n’était quand même pas rassuré. Après dix minutes de vol, on pouvait déjà apercevoir les lumières du chantier spatial, cela ressemblait à un grand feu car tout le reste était dans l’obscurité. Cinq minutes plus tard la grande base de construction spatiale était bien visible. On pouvait distinctement voir la grande fausse longue de plusieurs kilomètres ou le Trinity avait vue le jour, et voir l’imposante tour de contrôle de pierres grises et l’impressionnant dôme de verre à son sommet. Cette base militaire était la plus grande de toute la planète, mais était surtout faite pour fabriquer des vaisseaux, bien que ceci fût impossible. La base était en alerte, elle était éclairée de toutes parts et des hommes couraient dans tout les sens. Amélius aperçu une partie des membres du conseil qui entraient dans la tour de contrôle.

Amélius : Les membres du Conseil ! Milina déposez moi près de l’entrée de la tour de contrôle s’il vous plait.
Milina : Non, je peux faire mieux ! Il y a quelque jour de ca la plate forme d’atterrissage du sommet de la tour a été terminée. Je vais vous déposer là !
Amélius : Merci bien, venez avec moi…

Le vaisseau Explorateur avançait rapidement vers la tour de contrôle, et Milina le posa sur la plate-forme conçue à cet effet. Amélius ouvrit la porte du vaisseau en appuyant sur un bouton situé sur la console de navigation du vaisseau. Milina fut très surprise qu’Amélius sache comment ouvrir la porte, mais elle oubliait que c’est Amélius et Cildon qui les avaient conçus. Le conseillé couru vers la porte de la tour. Il posa sa main sur une petite console devant la porte du dôme de verre, la console s’illumina d’un vert clair et la porte de verre s’ouvrit latéralement, ils entrèrent. Il prit quelque minute pour admirer la salle de contrôle qu’il n’avait pas vu depuis plusieurs années. Il y avait des consoles de touts types disposées en cercle le long de la verrière et dans le centre de la pièce se trouvait un hologramme de la planète et du vaisseau Trinity qui était en orbite. Une vingtaine d’hommes et de femmes tous en uniforme de couleur beige avec le symbole de l’arme Alteran travaillaient là. Amélius aperçu le grand conseillé Oron qui parlait avec un soldat mais son uniforme était différent. Il portait un pantalon beige et une veste de couleur noire et portait un étrange symbole. Il était général, ceux vieil homme aux cheveux grisâtres et aux yeux bleus de glace était Khaled chef du Chantier spatial d’Avalon. Il se dirigea vers eux, mais il fut bousculé par une jeune femme qui prit juste le temps de s’excuser et reparti vers sa console. Toute la base était sans dessus dessous, l’arrivée du Trinity vide les avait très surprit. Amélius rejoint alors les membres du conseil qui venaient juste d’arriver. Ils parlèrent quelque minute avec Khaled, puis Amélius prit la place de l’officier responsable des détecteurs. Il s’assit et pianota quelque seconde, et un léger grondement se fit entendre. Khaled demanda sèchement à Amélius se qu’il trafiquait :

Khaled : Mais enfin que faites-vous ?
Amélius : Je réoriente les paraboles de la tour de contrôle, afin d’avoir un scan complet du Trinity. Pourquoi ?
Khaled : Vous auriez pu me demander mon accord ou attendre un de mes ordres.

Sur ces mots le jeune Amélius se leva et regarda le vieil homme droit dans les yeux. Amélius et le vieux Khaled ne s’était jamais vraiment appréciés. Ils se fixaient droit dans les yeux et Amélius lui dit d’une voix ferme :

Amélius : Commandant Khaled, je suis membre du grand conseil Alteran, je n’ai aucune demande à vous formuler n’y aucun ordres à recevoir de vous ! Maintenant j’ai du travail, vous pouvez disposer commandant !
Khaled : A vos ordres monsieur.


[center]____________________________________________________________

Chapitre IV: Avalon... [Partie I]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Chapitre IV: Avalon... [Partie II]
» Chapitre II: A la dérive...
» Chapitre I: Au commencement...
» Chapitre V: Mort à L'arrivé...
» Chapitre III: Point de non retour...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'alliance des 5 races :: Tome I: Un Nouveau Départ...-